LES 4 VÉRITÉS DE BRANE

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"MONSIEUR PIPI", "DROOPY"...:LES SURNOMS PEU FLATTEURS DE F. FILLON

Si François Fillon est aujourd'hui au centre des attentions, le candidat à la primaire de la droite n'a pas toujours été sur un piédestal. En témoigne ses surnoms pas très flatteurs...

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"Il y a un mois, Fillon c'était Droopy et maintenant il ferait président ?", s'est interrogé Stéphane Le Foll dans les colonnes du Libération. En effet, quel chemin parcouru pour François Fillon, le vainqueur surprise du premier tour de la primaire de la droite, dimanche dernier.
Aujourd'hui favori pour le second tour - et pourquoi pas pour la présidence de la République - François Fillon n'a pourtant pas toujours été mis sur un piédestal. En témoigne les nombreux surnoms qui lui collent à la peau.

"Mister Nobody", "Droopy"...

Le candidat à la primaire de la droite a ainsi été traîté de "collaborateur" par Nicolas Sarkozy lorsqu'il était son Premier ministre. Il a aussi été affublé du sunom "courage, Fillon !" (jeu de mots sur "courage, fuyons !"). Mais François Fillon a aussi pâti d'être relégué au second plan et de son charisme peu visible. "Mister Nobody ("personne")" ou encore "Droopy" sont ainsi des surnoms qui lui collent à la semelle.
Des sobriquets choisis pour nuire, selon Arnaud Mercier maître de conférences en science politique interrogé par BFMtv. "Souvent, ces surnoms sont hérités de vos adversaires ou d'humoristes. C'est une façon de mettre l'accent sur un trait négatif de votre personnalité. 'Mister Nobody' dit une chose importante : François Fillon est passé en dessous des radars. Son image n'est pas encore très claire, ce qui est paradoxal quand on a été cinq ans Premier ministre, mais un Premier ministre effacé et écrasé par un Nicolas Sarkozy hyperprésident."

Nicolas Sarkozy lui a donné des surnoms insultants

Mais François Fillon a aussi reçu un surnom insolite : "Monsieur pipi". C'est Jean-Louis Debré qui le lui avait attribué lorsqu'il était président de l'Assemblée nationale. Dans son livre Ce que je ne pouvais pas dire publié en début d'année, il assure lui avoir assigné ce sobriquet car le Sarthois, qui était alors ministre de l'Éducation nationale, s'éclipsait aux toilettes lorsqu'un texte délicat se présentait. Citons également d'autres surnoms, plus durs, qu'attribuait Nicolas Sarkozy à son ancien "collaborateur" : "eunuque", "sans couilles", "loser" ou "pauvre type"...

 

SOURCE : Planet.fr 23.11.2016



27/11/2016
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